Le projet de loi sur les soins sans consentement en psychiatrie a été adoptée définitivement. En signe d'apaisement à l'attention des professionnels et des usagers, les sénateurs ont ajouté deux amendements. Le premier prévoit que le préfet devra mettre fin à l'hospitalisation d'office si deux psychiatres concluent qu'elle n'est plus nécessaire. Le second précise que les établissements de soins psychiatriques devront coordonner leurs missions avec la sectorisation psychiatrique.
Aurélia Descamps
Publié dans le magazine Direction[s] N° 87 - août 2011