« 2010 sonne la mi-échéance de la loi Handicap du 11 février 2005, mais plutôt qu'un anniversaire, c'est la perte de l'esprit de cette loi que les personnes en situation de handicap riquent de célébrer. » Plus que de l'amertume, l'APF fait part de sa « colère noire » (1). Elle demande, à l'instar du Comité d'entente des associations représentatives de personnes handicapéeset de parents d'enfants handicapés, la suspension de mesures prises en 2009 « sans concertation ». Et de citer : la dérogation aux règles d'accessibilité, le transfert de la gestion des auxiliaires de vie scolaire aux associations et la remise en cause du plan personnalisé de compensation.
(1) Lire dans ce numéro, p. 20
Nadia Graradji