Des champs d’action qui se recouvrent en partie avec des moyens humains particulièrement importants. C’est ce que retient l’IGF de son examen des agences de l’État [1], en particulier celles des secteurs sanitaire et médico-social : l'Anesm, l'Anap et la Haute Autorité de santé (HAS). Pour remédier à cette incohérence, les inspecteurs proposent de « rassembler les agences exerçant des métiers identiques ou proches, et n’ayant pas la taille critique ». Catégorie dans laquelle ils incluent… l'Anesm.
[1] L’État et ses agences, rapport de l'IGF, mars 2012
Aurélia Descamps
Publié dans le magazine Direction[s] N° 100 - novembre 2012