Les récents travaux [1] du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (CNLE) nourriront certainement les débats de la conférence nationale des 12 et 13 novembre prochain. Premier chantier ouvert : la question du « reste à vivre » dont le mode de calcul doit « mieux prendre en compte les situations vécues », estime l’instance. Qui préconise également la réévaluation des minima sociaux et la création de dispositifs d’intervention sociale précoce.
[1] « Pour une mise en œuvre du droit à des moyens convenables d’existence », juin 2012
Aurélia Descamps
Publié dans le magazine Direction[s] N° 100 - novembre 2012