Situation socioéconomique des personnes les plus démunies ; sinistres ou défaillances d’opérateurs ; migrations consécutives aux crises internationales ; conditions climatiques. Tels sont les nouveaux critères qui peuvent motiver l’ouverture temporaire de places d’hébergement, longtemps conditionnée à la baisse des températures. Annoncé par la ministre de l’Égalité des territoires et du Logement le 21 novembre, ce « changement de méthode » a déjà fait l’objet de consignes aux préfets et devait prendre effet dès cet hiver.
Aurélia Descamps
Publié dans le magazine Direction[s] N° 116 - janvier 2014