Début mai, neuf associations de solidarité, dont la Fnars et France Terre d’asile, prônaient un plan d’urgence national interministérielen matière d'accueil des réfugiés. Leurs demandes ? La mobilisation massive de logements sociaux ou privés à vocation sociale ou l’accélération des ouvertures de Cada et de centres provisoires d’hébergement. La veille, c'est le CNLE qui alertait sur le manque de moyens ad hoc, alors que dans un récent rapport, le Défenseur des droits appelle au respect des droits fondamentaux des étrangers.
Publié dans le magazine Direction[s] N° 143 - juin 2016