La proposition de la commission européenne, présentée le 26 avril en vue de l'adoption d'un socle européen des droits sociaux, a le mérite de reconnaître le droit des enfants à la protection contre la pauvreté, se félicite la Cnape. Pour autant, la mise en place d’un revenu minimum, d’une assurance chômage et d’un salaire minimum dans chaque pays ne figurent pas parmi ses 20 principes, regrette l’Uniopss. Qui déplore également le caractère non contraignant de ce socle et l’absence de moyens fléchés pour l’appliquer.
Noémie Colomb
Publié dans le magazine Direction[s] N° 154 - juin 2017