« La situation dans le Maine-et-Loire illustre le dérapage flagrant de l’utilisation de la procédure d’autorisation par appel à projet par certains départements pour mettre à mal des associations de protection de l'enfance implantées et expérimentéesau profit d’une concurrence économique effrénée ». Détonateur de la colère de l’association de directeurs ADC ? L’exclusion de quatre acteurs historiques du champ par ce département dans le cadre de la procédure au printemps dernier. Les professionnels demandent que la protection de l’enfance soit « reconsidérée comme un axe majeur de la fonction publique régalienne de l’État ».
Publié dans le magazine Direction[s] N° 157 - octobre 2017