1,5 milliard d’euros : c'est le gain généré par les services d'aide et de soins à domicile (Saad et Ssiad) au profit des finances publiques. Tel est l’un des enseignements de l’étude socio-économique réalisée par la fédération Adessadomicile avec l’assureur Ocirp visant à chiffrer l'impact de l'accompagnement en matière de bien-être, de création de richesse et de dépenses évitées pour la collectivité. Au total, 18 indicateurs (réduction de la probabilité d'aller aux urgences, du risque de délinquance, répit pour les aidants...) ont été identifiés qui « doivent conduire les pouvoirs publics à regarder différemment les services », défend l'organisation.
Noémie Colomb
Publié dans le magazine Direction[s] N° 169 - novembre 2018