« Le projet de loi [Autonomie] est toujours une priorité pour ce quinquennat dès que la crise en permettra l’examen », a répété Brigitte Bourguignon le 20 février. « Que la crise le relègue sine die serait intolérable », a prévenu le président de la Fnadepa. Deux jours plus tôt, l’indignation était maximale chez les fédérations du domicile : « Comment imaginer que l’on puisse attendre […] ? Déjà, aujourd’hui, faute de personnel et de moyens financiers, il est impossible d’honorer toutes les demandes d’accompagnement. » Calendrier parlementaire oblige, difficile d’envisager un texte au Parlement avant la fin juin au mieux, a de son côté prédit la députée (Agir) Agnès Firmin-Le Bodo.
Gladys Lepasteur
Publié dans le magazine Direction[s] N° 194 - février 2021