Suite à des contrôles effectués dans deux Ehpad, la Commission nationale de l'informatique et des libertés s'inquiète des dérives dans l'usage du bracelet électronique destiné aux personnes âgées désorientées. « Le directeur d'un des établissements a recours à l'application tant pour vérifier les diligences des salariés à répondre aux sollicitations que pour obtenir des éléments de preuve lors de litiges ou contentieux avec un salarié. » Elle souligne également le défaut d'information sur les droits des résidants, de leur famille, des salariés et des syndicats.
Nadia Graradji
Publié dans le magazine Direction[s] N° 77 - octobre 2010