Des modifications sont apportées au cahier des charges de l’expérimentation de salles de consommation à moindre risque. La durée de fonctionnement minimum est réduite à un an. L’accès au dispositif est désormais ouvert aux usagers de drogues par voie d’injection, mais aussi à ceux par voie nasale ou par inhalation et les anciens toxicomanes sont rebaptisés « médiateurs pairs ». Enfin, une évaluation médico-économique sera conduite par l’Inserm avec la construction d’un modèle de simulation du devenir des publics des salles.
Arrêté du 15 juillet 2019
Laura Taillandier
Publié dans le magazine Direction[s] N° 178 - septembre 2019