« Un coût du travail plus élevé dans les établissements et services sanitaires, sociaux et médico-sociaux privés non lucratifs, […] que dans le secteur public », dénonce la Fehap, études à l'appui [1]. En cause ? Les obligations des premiers en matière de couverture des risques liés à la santé des salariés, de financement de l’assurance chômage ou encore un différentiel de charges fiscales important entre les deux champs. « Les gestionnaires privés ne doivent pas être défavorisés et appellent à [une] compensation », conclut la fédération.
[1] Notamment, l’Analyse de l’activité hospitalière, rapport de l’Atih, septembre 2013. À télécharger sur www.atih.sante.fr
Aurélia Descamps
Publié dans le magazine Direction[s] N° 113 - novembre 2013