L’administration reprécise les conditions d’inscription de la Protection judiciaire de la Jeunesse (PJJ) dans les principales politiques publiques, en intégrant notamment les dernières en date et celles récemment rénovées (protection de l’enfance, lutte contre la radicalisation, prévention de la délinquance...). Son implication doit se construire après un diagnostic territorial, établi entre autres à partir de l’expertise des responsables d’unités éducatives et de leurs équipes.
Note du 24 novembre 2017
Gladys Lepasteur