Instabilité des équipes, qualité insuffisante des projets éducatifs… Les dysfonctionnements des centres éducatifs fermés (CEF) sont listés par la contrôleure générale des lieux de privation de liberté. Face à ces critiques partagées par la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), la Cnape défend ces structures « dont les pratiques positives ne sont jamais valorisées ». Et plaide pour que leur spécificité dans le dispositif de la justice pénale des mineurs soit reconnue.
Noémie Colomb
Publié dans le magazine Direction[s] N° 164 - mai 2018